Anecdotes
La semaine dernière, j’étais en en semaine de lecture à l’université et j’en ai profité pour aller voir ma famille.
Voici le genre de propos ou réflexions que j’ai eu (non, je n’en suis pas particulièrement fière, mais on a bien rigolé) :
1) À ma sœur Demi, vendredi avant midi et à toute la famille, au souper :
Si je meurs, il faudra que des membres de la famille viennent récupérer mes affaires à mon appartement. Je me demande s’il y a des choses que je n’aimerais pas que vous trouviez. Des choses compromettantes? Gênantes? Honteuses?
Et si en sortant du bain, je glissais et me frappais la tête… Ah la la… je n’aimerais pas que l’on me retrouve nue… morte… pourrissante. Je crois que je préfèrerais mourir attaquée sur la rue… Non, je ne crois pas… Si j’étais attaquée, j’aurais peut-être tellement peur que j’en chierais dans mes culottes.
Finalement, il n’y a pas de belles façons de mourir, soit je suis nue, soit je suis dans la merde! Ah la la!
Au souper, un ensemble de voix a ajouté : «Soit les deux ensemble!»
Vous êtes rassurants, mais je vous aime de même.
2) Alors que ma sœur, Demi, et moi étions dans un salon de thé, je vois un gars, que je trouve beau, assis au comptoir. Je laisse aller un soupir et ma sœur me demande si je vais bien.
- Moi : Je réalise combien ça me manque d’être en relation avec des gars de mon âge. Si nous étions des animaux, je pourrais aller le voir, nous ferions ce que nous aurions envie de faire et je reviendrais te voir.
Puis, le gars se lève pour aller payer et je le vois discuter avec une fille qu’il semble connaître. Des retrouvailles touchantes. Vraiment.
- Moi : Finalement, si nous étions des animaux, il aurait fallu que je me batte avec une autre femelle pour avoir le mâle. C’est pas mieux.
Le gars quitte le salon de thé
-Ma sœur se met à chanter : «Il s’en vaaaaaa…» en mimant avec son bras tendu.
Plus tard, au souper avec la famille, on me dit que je n’aurais probablement pas été obligée de me battre avec l’autre femelle ; le mâle aurait contenté les deux avant de partir. Quel soulagement, non?!!
NDLR : Aux membres de ma famille et à mes amis, est-ce que j’ai oublié quelque chose?
Voici le genre de propos ou réflexions que j’ai eu (non, je n’en suis pas particulièrement fière, mais on a bien rigolé) :
1) À ma sœur Demi, vendredi avant midi et à toute la famille, au souper :
Si je meurs, il faudra que des membres de la famille viennent récupérer mes affaires à mon appartement. Je me demande s’il y a des choses que je n’aimerais pas que vous trouviez. Des choses compromettantes? Gênantes? Honteuses?
Et si en sortant du bain, je glissais et me frappais la tête… Ah la la… je n’aimerais pas que l’on me retrouve nue… morte… pourrissante. Je crois que je préfèrerais mourir attaquée sur la rue… Non, je ne crois pas… Si j’étais attaquée, j’aurais peut-être tellement peur que j’en chierais dans mes culottes.
Finalement, il n’y a pas de belles façons de mourir, soit je suis nue, soit je suis dans la merde! Ah la la!
Au souper, un ensemble de voix a ajouté : «Soit les deux ensemble!»
Vous êtes rassurants, mais je vous aime de même.
2) Alors que ma sœur, Demi, et moi étions dans un salon de thé, je vois un gars, que je trouve beau, assis au comptoir. Je laisse aller un soupir et ma sœur me demande si je vais bien.
- Moi : Je réalise combien ça me manque d’être en relation avec des gars de mon âge. Si nous étions des animaux, je pourrais aller le voir, nous ferions ce que nous aurions envie de faire et je reviendrais te voir.
Puis, le gars se lève pour aller payer et je le vois discuter avec une fille qu’il semble connaître. Des retrouvailles touchantes. Vraiment.
- Moi : Finalement, si nous étions des animaux, il aurait fallu que je me batte avec une autre femelle pour avoir le mâle. C’est pas mieux.
Le gars quitte le salon de thé
-Ma sœur se met à chanter : «Il s’en vaaaaaa…» en mimant avec son bras tendu.
Plus tard, au souper avec la famille, on me dit que je n’aurais probablement pas été obligée de me battre avec l’autre femelle ; le mâle aurait contenté les deux avant de partir. Quel soulagement, non?!!
NDLR : Aux membres de ma famille et à mes amis, est-ce que j’ai oublié quelque chose?
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