mardi 30 octobre 2007

Petit malaise

Je regarde la télévision dans le salon. Mon coloc passe devant moi et sort fumer sur le balcon. Quelques minutes après, je me lève pour aller à la toilette. Alors que j’abaisse mon pantalon, j’entends mon coloc qui rentre à l’intérieur. Maintenant, que je m’assoie sur le bol, je l’entends marcher vers sa chambre. Mais je n’entends pas la porte de sa chambre s’ouvrir. Non. Les pas continuent et je sais ce qui va se produire...

Il met sa main sur la poignée alors que je dis le mot «JE». Pendant que je prononce le mot «SUIS», il tourne la poignée. Finalement, je dis «LÀ» au moment même où il ouvre la porte. Alors je suis là, tout sourire, en train de pisser. Si vous aviez vu sa face, vous aussi vous auriez pouffé de rire.

Il a refermé la porte en s’excusant. Puis, il a ajouté : «Je n’avais pas remarqué que tu n’étais plus dans le salon».

Ah la la!

vendredi 26 octobre 2007

Procrastination

Tout pour ne pas étudier... après avoir réaménagé mon salon, fait le ménage...

Voici des incontournables...


Le site Animation Gallery de Mark Fiore un caricaturiste américain. Que pensez vous de mon Li’l Happy Logo à moi?



Pou Asymptote est un drogué, comme moi, PAREIL!!! MÊME AFFAIRE!! Et vous êtes jaloux car : Je suis l’amie de Pou! Je suis l’amie de Pou! sur FaceBook. De plus, je suis assidûment les cours de dessins de Banville. Je serai la pro du bonhomme allumettes, je vous le dis!

Je vous invite à aller visiter le FortuBlog et Puis on s'endormira comme les autres...

Pfffff! Ça ne fait même pas une semaine que ma soeur Demi est sur Facebook et elle a déjà le triple d’amis que moi. Dire qu’elle me «snobbait» là-dessus : «Oh moi, Facebook, MySpace, ces affaires-là, tu sais.» Pis moi de lui répondre : «Tu pourrais retrouver tes amis de ton escadron de cadets, j’ai vu qu’ils avaient formé un groupe.» Maintenant, hein!!! En plus, plusieurs de ses amis sont de la graine de vedettes, des bourrés de talents, des futures stars... Ben moi, au moins, je suis l’amie de Pou! En tous cas, j’espère... J’attends sa réponse... Yé ben mieux de m'accepter car je suis de la famille «par extension», il pourrait bien avoir la vie dure sinon... (Quoi? Mais non, ce ne sont pas des menaces! C'est de l'humour!)

Pis si j’étais vous et que j’habitais Montréal, j’irais voir les Moquettes coquettes et des matchs d’impro... Les Improductifs, La Semi-Lustrée, La LIM...

Finalement, je souhaite me retrouver, enfin, dans le «blogroll» d'un site achalandé (Ouach! quel opportunisme!).

Révélations!

Vous vous en doutez peut-être, mais je ne m’appelle pas Kitty Blues. Et si je vous disais que je ne suis ni Kitty ni Djou pour Julie. Si je vous disais que je ne viens pas de Thetford, que je ne sais même pas où c’est Thetford.

En fait, je viens du Bangladesh. Je suis arrivée en Angleterre, à l’âge de six ans, avec mes parents, mes 3 frères aînés et ma petite soeur. Il y a longtemps, j’ai dû fuir cette même famille qui voulait me marier de force au Bangladesh avec un type ayant deux fois mon âge alors que je n’avais que seize ans. Heureusement, La Forced Marriage Unit est venu me chercher quelques jours avant la célébration. Parce que j’avais peur continuellement que ma famille me retrouve et me tue pour venger son honneur, je suis déménagée à Montréal. J’étais jeune, j’étais pauvre, je ne parlais pas français.

Alors je suis devenue escorte et je travaillais pour James. James est un réfugié Colombien qui a obtenu sa citoyenneté canadienne grâce aux 25 000$ qu’il avait réussi à économiser alors qu’il trafiquait de la drogue dans son pays d’origine et à ses talents d’acteur. D’ailleurs, les contacts de James provenant de son ancienne vie étaient bien utiles. Je ne manquais jamais de coke lorsque j’en avais besoin.

Aujourd’hui, je me refais une vie, encore une autre, à Sherbrooke. En espérant que ce sera la bonne cette fois. Peut-être que je deviendrai psychologue interculturel afin d’aider ces familles à mieux comprendre les valeurs du pays qui les accueille et vice versa. Aujourd’hui, je m’invente les souvenirs d’une québécoise «pure-laine» pour faire comme si j’avais eu une vie ben ordinaire.

Aujourd’hui je me dis une chance que mes parents avaient choisi l’Angleterre comme terre d’asile. Parce qu’en Angleterre, le mariage de force va à l’encontre des droits et libertés de ses citoyens. Au Québec et au Canada, c’est juste une bien triste histoire qui serait don cute à entendre à Claire Lamarche ou à Oprah, mais contre laquelle personne ne peut rien y faire. Pis James, c’était juste un «p'tit crosseur» dans son pays, comme il y en a plein ici. Il essayait juste de s’en sortir. Contourner, déjouer, manipuler, ne pas se faire prendre surtout, ce sont bien des valeurs canadiennes et québécoises ça non?

Maintenant, vous avez le choix d’accepter cette nouvelle histoire de moi ou de la rejeter. Vous pouvez ne pas me croire. Évidemment, vous pouvez vous dire, qu’en réalité, je ne fais que regarder l’émission Enquête de Radio-Canada. Cependant, vous pouvez aussi vous dire que je suis une immigrante qui a tellement bien appris à communiquer en français et qui est vraiment bien intégrée à la société... Finalement, il n’y en a pas de problème!... juste quelques histoires tristes, mais ça, tout le monde en a... pis kécé tu veux kon fèze?

____________

J'ai trouvé la photo ici sur le blogue de Patrick Lagacé et, en même temps, j'ai trouvé un autre bon-texte-à-lire-absolument .

jeudi 25 octobre 2007

Je t'aime mélancolie


C’est beau Sherbrooke, surtout l’automne. J’aime bien Sherbrooke, mais pas assez, pas tant que ça, pas vraiment... Je pense que je sais pourquoi. À Sherbrooke, il y a 7 filles pour 1 gars. Les gars que je côtoie ont à peine 20 ans. Côtoyer est un bien grand mot, je leur parle à peine. Je connais leurs noms et encore, si je m’en souviens. Ce n’est pas que je vous aime pas les filles! Je vous adore, voyons! Mais les gars me manquent. Je m’ennuie de Montréal aussi. Pas du bruit ni des mauvaises odeurs, mais de la «night life». Je fais dans la nostalgie aujourd’hui...

Je m’ennuie des soupers du jeudi soir avec les gars (Y, M et L) à la Cage ou au St-Hub.

Je m’ennuie de Joe qui me raccompagne chez moi après le travail, dans sa précieuse Pontiac Grand Am, et de nos soirées à la Maison du Jazz (anciennement, le Biddle).

Je m’ennuie des mardis soir «Pichets de Sex on the beach» avec James (mon «grand frère») dans un bar trou de la Ste-Cath. D’ailleurs, je m’ennuie aussi des parties de «pool» avec la gang de l’épicerie dans ce même bar trou.

Je m’ennuie de la pizza congelée et du mousseux avec Stéphane (la plus belle fée clochette que j’ai jamais vue, la plus drôle aussi) et James, les nuits du dimanche après le travail. Je m’ennuie de Luna, le rottweiler, du furet, des poissons et des chats de Steph, de sa cour arrière, de son escalier en colimaçon, de sa porte arrière qui est toujours débarrée, de son mur des amitiés...

Je m’ennuie des «CheeseSticks» avec James au Mike’s sur Ste-Cath, la nuit. Pis du serveur qui nous donnait des desserts.

Je m’ennuie (presque) du Cock&Bull, un autre bar trou de la Ste-Cath, où la gang du travail se retrouvait parfois et du beau Phil, le barman qui m’invitait tout le temps.

Je m’ennuie des nuits du vendredi chez Cindy (voisine de Steph) avec Erin, Jérôme, Isaac et les autres...

Je m’ennuie des sorties dans les bars gay avec Catou (la fille des USA), Nath (la fille de Rouyn), James (le latino et «grand frère»), Stéphane (encore lui, le gay,) et Caro (la lesbienne qui aimait les filles comme moi).

Je m’ennuie de Doris, la barmaid qui faisait son carême «pas de sexe» avant Pâques et qui travaillait dans un bar clandestin.

Je m’ennuie des sorties cinéma-café avec Gerry.

Je m’ennuie d’Andrew, le libraire, qui passait toutes les nuits à l’épicerie.

Je m'ennuie de Big, l'agent de sécurité, avec qui j'abusais du câlin (devant tout le monde en plus!)

Je m’ennuie de mes longues marches la nuit avec James, mais surtout avec Karl (qui, lui, n’était pas mon «grand frère»).

Je m’ennuie de la pizza d’Angela Pizzeria, de la Sangria et des nachos du Ciné-Express, surtout des sorties entre amis qu’on faisait là-bas.

Je m’ennuie des spectacles d’impro et des Moquettes coquettes.

Je m’ennuie de nos sorties resto «on-goûte-une-nouvelle-nationalité»

Je m'ennuie (un peu, mais pas trop) des conversations intenses avec A-M.

Je m’ennuie des tamtams du Mont-Royal, pendant que je dormais étendue sur le gazon.

...

Bon là, c’est assez, je vais aller faire autre chose que m’ennuyer...

Crise identitaire

Aujourd’hui, on m’a dit :

Kitty, t’es ben dominatrice!
Kitty, t’es ben soumise!
Kitty, t’es ben sérieuse!
Kitty, t’es ben folle!
Kitty, t’as don ben pas le sens de l’humour!
Kitty, t'es vraiment pas romantique.
Kitty, t'es trop réaliste.

Pfffffffff! Mon égo est beaucoup trop solide pour être ébranlé par ces commentaires contradictoires.

Et comme le chantait Jean-Pierre Ferland, dans sa chanson Androgyne :

J’ai le don de la beauté. (je sais que ça dépend des goûts)
J’ai du coeur et des idées. (absolument!)
Je n’suis pas compliquée. (pas plus que d’autres, c’est certain)
J’adore être adorée. (sans piedestal, sans excès, svp!)
J’ai des manies d’archange. (mignonne, mignonne)
Je fais bien l’amour. (ben là, il faut être deux)
Je ne fais jamais la tête, non, non. (c’était quand la dernière fois?)
J’ai toujours un fond de fête, pompon. (pas pompette, mais drôle)
Tout me plaît, rien ne m’arrête, non, non. (presque tout et presque rien)
Je suis la femme idéale.

La vie ne m’a pas blessée. (à peine)
L’amoureux ne m’a pas déçue. (l’amour, l’amoureux, l’amour oh! C’était pas clair ici, mais ai-je l’air déçue?)
Je n’suis pas censurée. (mais discrète)
J’adore être admirée. (comme tantôt)
J’ai des envies d’artiste. (c'est quoi des envies d'artiste?)
Je souris toujours. (même le matin!)
Je ne mets jamais de chaînes à mon nom. (quoi? Jamais de chaîne! mais je ne comprends pas?)
Je ne fais jamais de peine, non, non. (j’espère, sinon j’en suis désolée)
Je n’haïs pas qu’on me prenne, non, non. (ben là, dépend par qui, comment pis où!)
Je suis la femme idéale.

J’ai le don de la beauté.
J’ai du coeur et des idées.
Je n’suis pas compliquée.
J’adore tout dépenser. (tellement pas)
Je suis crapule et tendre. (surtout tendre)
Je m’oublie toujours. (pas sûre que c’est bien)
J’aime sans jamais dépendre, non, non. (on me le reproche parfois)
Je peux plier sans me pendre, non, non. (quoi? mais sans me pendre c'est certain!)
Vous allez toujours m’attendre, allons donc. (il manquait de rime)
Je suis la femme idéale.

Je fais bien l’amour.
Je ne fais jamais la tête, non, non.
J’ai toujours un fond de fête, pompon.
Je suis la femme idéale.

Je m’oublie toujours.
J’aime sans jamais dépendre, non, non.
Vous allez toujours m’attendre, allons donc.
Je suis la femme idéale.

Évidemment, je ne suis pas un androgyne. Mais il disait aussi : C’est à 30 ans que les femmes sont belles...

mercredi 17 octobre 2007

Almost perfect

Lundi,

5h40 : Le réveil chante et moi, je rêve que je me réveille bientôt. (savoir rêver mieux)
7h 30 : Je me lève. (sens des responsabilités)
7h35 : Je déjeune dans mon lit toujours (Je sais pas pourquoi je le précise mais : Shredded wheat & bran avec morceaux de banane et lait de soya vanillé) en lisant le... noooon je le dis pas... ok alors... le Reader’s Digest! (petit plaisir de la vie... pas le RD, le déjeuner au lit!)
8h00 : Fer plat pour mes cheveux. Proactive (oui, ça fonctionne!) et brossage des dents (un soupçon de coquetterie)
8h10 : Je m’habille... ma douche, c’est avant de me coucher... pas de conflit avec le coloc qui la prend le matin... pas de guerre de salle de bain... (Je suis géniale!)
8h18 : J’ai tout ce qu’il me faut dans mon sac à dos... mon lunch, mes clés... Je quitte prendre le bus (prononcez boss à la montréalaise) (ponctualité)
8h50 : Je suis dans la classe. J’attends ma copie d’examen, cours de psychologie interculturelle. (beaucoup de concentration)
Presque midi : Fin de l’examen. J’ai faim! (sens des priorités)
12h40 : Nous encourageons C qui imprime notre test de psychométrie pour mesurer la personnalité antisociale, la feuille de consentement, mais pas le test critère car elle l’a déjà fait... P m’imprime les notes de cours. (un peu de relationnel)
13h00 : Cours de psychopathologie (Je suis équilibrée, je suis équilibrée, je suis équilibrée...)
14h20 : Pendant la pause : Course avec C jusqu’au service d’impression avec les tests et la feuille de consentement du cours de psychométrie. Jaser dans la file d’attente. Demande d’imprimer les documents, 75 copies moins les membres de l’équipe plus le prof = 72, recto verso svp! Le type nous dit alors que ce serait moins cher de les faire photocopier ailleurs, à la Fac de Droit, là-où-il-y-a-une-porte-avec-comptoir-comme-ici précise-t-il. Course à la Fac de Droit et recherche de ce «ailleurs». Il y a une file d’attente encore plus longue... MAIS... les heures d’ouverture sont ajustées en fonction de la réalité étudiante qui ont des cours le jours (force de caractère et de survie contre les «maisons de fous»)
14h40 : Retour au cours de psychopathologie. Je puise dans mes dernières sources d’énergie... ça fait 3 jours que je dors seulement 4h et quelques... et à regarder autour de moi... je ne suis pas la seule! (endurance)
16h00 : Accompagnée de P et C, je retourne tranquillement là-où-il-y-a-une-porte-avec-comptoir-comme-ici. 72 copies, recto verso svp! Quoi? Oui, je sais qu’il y a un test avec No Copyright. Mais nous avons l’autorisation ; celui qui a créé le test, lui-même, qui nous l’a donnée! Avez-vous un ordinateur? Vas leur montrer, P, que nous avons l’autorisation! Ils ont dit : «La 2ème porte». Oui, celle-là, vas-y P et montre leur! Et P disparaît derrière la 2ème porte. Et moi, je regarde par la porte-avec-comptoir, mais je ne trouve pas P. Elle a disparu! Alors je me tourne vers C et je dis : «Ils ont une trappe! Ils font entrer les étudiants par la 2ème porte et Pffffiiittt! Ils ouvrent la trappe!» NO COPYRIGHT! Mouaaaaahahahaha (un brin de folie)
17h00 : Retour chez moi et sieste de 30 minutes (écoute de ses besoins)
17h35 : Étude pour l’examen de psychométrie (assiduité)
18h30 : Interruption «Mon coloc me parle!!! Une vraie discussion!» Encercler la date sur le calendrier, svp! On a même rigolé en se jouant les répliques du film «Les 12 travaux d'Astérix», dans la maison des fous : «Mais je ne veux pas le port! je veux le laissez-passer A-38!!!» (ce que je peux être marrante parfois!)
19h30 : J’ai manqué «Le Coeur a ses raisons» parce que je jase encore avec mon coloc pis son coéquipier!!! (savoir saisir les occasions)
20h00 : Étude (ténacité)
21h00 : Étude avec Dr House (on a tous des faiblesses)
22h00 : Étude encore (sens de l’acharnement)
23h00 :
Douche (cohérence)
23h30 : Trop fatiguée, moi je vais me coucher. Bonne nuit les gars. (respecter ses limites)

C'est quoi, si ce n'est pas «presque parfaite»?... Je parle de la journée bien sûr...

PS: Rassurez-vous, P s'en est sortie indemne. Tel un caméléon, elle s'est confondue avec le décor et a réussi à déjouer l'ennemi lors d'un moment d'inattention.

dimanche 14 octobre 2007

Anniversaire


Je prends quelques minutes pour souligner l'anniversaire de ma soeur GoldenHands.



Alors Bonne Fête ma belle!

Je t'adore! XXXXX

mercredi 10 octobre 2007

Vénus érotica

La fin de semaine passée, j'ai été à Thetford pour m'assurer que j'avais toujours une famille. Elle existe. Elle est toujours là. Elle me fait encore autant de bien.

Je suis présentement en mi-session. Ce qui signifie : charge de travail accablante, stress intense, études, lectures, études, lectures, études, études... parce que remise de travaux et examens obligent.

Hier soir, je suis allée à une démonstration de produits érotiques avec la ferme intention de ne rien acheter. Dois-je accepter le fait que je n'aie aucune fermeté ou tout faire pour en développer minimalement? Quoiqu'il en soit, j'ai finalement acheté un Fukuoku (un nom bizarre), trop cher pour mes moyens, mais jugés indispensable par mon dos, mes épaules et mon cou. Je l'ai utilisé quelques minutes avant de me coucher et j'ai dormi comme un bébé. J'espère rentabiliser l'objet en offrant des massages (non-érotiques) pour pas cher. (L'offre ne s'adresse qu'aux amis(es) et à la famille... on se rappellera que je manque de temps dans une journée).

Mais pourquoi suis-je allée dans une démonstration de produits érotiques, vous demandez-vous? Pour aider au financement d'une recherche sur la peur de l'accouchement dans le cadre d'un cours tutoral au baccalauréat en psychologie à l'Université de Sherbrooke. Mais pourquoi ai-je acheté ce gant vous demandez-vous? Si vous relisez d'anciens «posts», vous sauriez que je souhaite régulièrement un masseur... OUPS!!!... un massage. Si j'avais été en couple, j'aurais probablement acheté «plein» d'autres bébelles à la place.

Pour ceux et celles que ça intéresse, voici le cadeau gratuit que j'ai reçu avec mon achat.

Merci à M et L pour avoir organisé cette belle soirée. Je vous souhaite du succès pour votre tutoral. Merci à C, la démonstratrice, pour sa patience et son sens de l'humour.

mercredi 3 octobre 2007

Télévaria

Dimanche dernier à Tout le monde en parle (TLMP), le Lieutenant général Roméo Dallaire, désormais sénateur à Ottawa, et Roy Dupuis faisaient la promotion du film «Shake hands of the devil» (J’ai serré la main du diable). Personnellement, j’ai trouvé Monsieur Dallaire particulièrement brillant. J’ignore si j’avais préalablement un préjugé défavorable envers les militaires, mais j’ai aimé sa façon de réfléchir avant de parler. Je sentais un raisonnement stratégique lorsqu’il intervenait.

C’était si différent de ma façon de voir les choses. Moi, je cherche les raisons psychologiques. Je cherche le pourquoi et le comment. J’étudie les valeurs en jeu. Je me demande si c’est moral. Je crois que M. Dallaire peut observer ces perspectives d’une manière semblable. Par contre, il ajoute une dimension stratégique. Il essaie d’anticiper les comportements futurs.

Je suis dans le présent. Je regarde beaucoup le passé. Mais l’avenir?... (Je crois que je viens de me trouver une raison pour aller consulter un psy... paraît que c’est essentiel à la formation d’un bon psychologue.)


Changement de sujet... Roy Dupuis ne parle pas beaucoup, mais quand il parle, ce n’est pas con... Évidemment, je n’arrive pas à me souvenir de la citation exacte... À TV5, à l'émission Cinérama, il a dit : «Le plus gros problème de l’Afrique, c’est nous» ou bien il a dit : «Le pire problème de l’Afrique, c’est nous». C’est pas con...

Rechangement de sujet... Pour connaître la fondation du général Dallaire, on va ...

Changement de sujet... encore... C'est moi ou parler de l'émission Virginie à TLMP, ça n'avait rien à voir avec l'actualité?... On s'est encore fait «plugger»!