dimanche 23 mars 2008

Auto-Martinoïsation

Je ne suis pas de ceux qui trouvent que KittyBlues, aussi connue sous le prénom Julie (Djou), soit une personne intègre ayant un bon jugement moral. Ne vous fiez pas aux apparences de ce petit chat tout bleu. D’abord, si elle utilise un pseudonyme, c’est certainement pour cacher sa véritable identité, celle d’un monstre, d’un être malveillant qui ne pense qu’à vous berner.

D’abord, l’histoire démontre clairement que ses ancêtres français ont contribué à l’exploitation des amérindiens. De plus, son grand-père travaillait dans une mine d’amiante, un minerai aujourd’hui banni dans plusieurs pays parce que jugé hautement toxique.

Enfant déjà, elle soutenait l’entreprise d’un pédophile en écoutant les disques de Nathalie Simard. Plus tard, elle a contribué à l’exode rural en abandonnant sa ville minière pour la métropole.

À Montréal, elle vivait la nuit et sortait dans des bars miteux où se faisait sûrement du blanchiment d’argent pour le crime organisé. Elle a côtoyé une ex danseuse nue et ex-femme d’un Hells Angels, des drogués, des voleurs et des putes! Franchement, cette fille ne sait pas toujours choisir ses amis. Si elle était si «droite», pourquoi se tiendrait-elle avec des gens si «louches»?

Pour payer ses études, elle travaille dans une épicerie. Cette entreprise vend des sacs biodégradables, mais ne recycle pas, si ce n’est que les boîtes de carton. Cette entreprise contribue aussi au réchauffement de la planète, en commercialisant des produits qui doivent parcourir des milliers de kilomètres avant d’arriver sur les tablettes. On y retrouve également des cigarettes, un produit cancérigène pouvant entraîner la mort!

Je ne dis pas que lire le blogue de KittyBlues équivaut à abuser d’enfants en Thaïlande, mais parfois, derrière les délires d’une sainte-nitouche-petite-bourgeoise, se cache une terroriste. Et encourager une terroriste potentielle, c’est nuire à la démocratie.

NDLR : Pour comprendre la démarche, voir «La botte de Richard Martineau» sur le blogue de Martin Petit.

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